Un nouvel épisode tumultueux secoue le paysage politique du Gabon, révélant les dessous d’un éventuel deuxième coup d’État, cette fois-ci revêtant une dimension inédite, mêlant militarisme et influences ecclésiastiques. Au centre de cette intrigue, le prêtre Asseko, présenté comme le porte-voix du prétendu Dialogue National Inclusif, lance une proposition controversée : octroyer un mandat de 5 ans, potentiellement renouvelable, au Général putschiste Oligui Nguéma.
Cette initiative soulève aussitôt une tempête d’indignation et de débats. Les observateurs pointent du doigt les motivations probables d’Asseko, qui semble tabler sur divers facteurs pour faire avancer son dessein. Parmi eux, les fonds de corruption présumés du « Monologue », l’apathie de certains acteurs politiques et la redoutable capacité du pouvoir militaire à étouffer toute opposition. Pourtant, malgré ces manœuvres et ces calculs politiques, cette proposition semble condamnée à l’échec dès son éclosion, défiant les aspirations profondes et la détermination du peuple gabonais.
Dans un contexte où des nations voisines, telles que le Sénégal, ont réussi à réaffirmer leur démocratie par des élections libres et équitables, cette nouvelle tentative de subversion, mêlant influences religieuses et militaires véreux, est vivement rejetée. Les véritables Forces Vives de la Nation sont exhortées à se dresser avec fermeté contre cette alliance pernicieuse. Ceux qui succomberaient aux sirènes de cette conspiration devront assumer les conséquences de leurs actes avec la plus grande sévérité.
Dans ce climat d’incertitude et de méfiance, il apparaît crucial que le peuple gabonais demeure uni et vigilant, résolu à préserver les acquis démocratiques chèrement conquis et à faire barrage à toute tentative de déstabilisation de leur pays.